Sophie Bourgeix Allard

Communauté et Relations

fullsizerender

[one_half]While considering what topic to choose for this post, I was lingering on the idea of independence from my previous post. As I’ve embraced independence, I have also come to embrace the freedom it entails in constructing your own relationships and communities. Often thought of as opposing matters, I believe that independence and communities are deeply intertwined, and reliant on each other. A positive and natural community is built on various individual relationships, which combine to create a web of networks. These relationships are not forced, but rather a personal choice. Thus, I think that having a strong sense of independence helps one to navigate these relationships, and choose for themselves which ones are valuable and worth investing time and energy in, and which ones are not.
From sitting at the front desk of Sophie’s studio every day, I have been able to see how she constructs and maintains these relationships, thus in turn builds a community. Most days, Sophie makes time to take coffee with her business associates. This small break is completely her choice, not a forced matter of business. But it is clear that this ritual has helped to construct a friendly and caring atmosphere within the Maison de la Photographe. An atmosphere that permeates the entire space, and welcomes her clients into the studio, creating a wider community. Even after the photo shoot is done, and her clients leave the studio, they remain a part of the community, connected by their experience in the studio. While their physical presence may be gone, their personalities and spirits have enhanced and characterized Sophie’s work, and vice versa.
People are not the only entities capable of creating relationships. Inside the studio, I’ve personally seen how Sophie is able to construct a relationship between herself, the camera, the lighting, and the clients. As the pictures on the screen come alive, something within the clients and Sophie herself comes to life. There is a certain passion or interest they all share, and it is realized in the studio. Although each person’s reason for being in the studio may be different, there is a shared desire within the space. I believe that a desire to be within a space, whether recognized or not, is critical to create positive relationships and communities.
From sitting in my favorite café with my closest friends for hours, to filling a seat on a plane with hundreds of other strangers, headed in a haze of lost confusion to a foreign country, I have seen how communities and relationships are an integral part of daily life. They are, in part, how you define yourself. Sometimes you don’t realize you’re a part of a community until you’re deeply entrenched in it. However, how, what and with whom you choose to involve yourself in, and the depth of that involvement, is based on your independence. My time with Sophie has shown me not to rely on others to build a comfortable space or enjoyable relationships, but rather to author your own story through the relationships you choose to make, and networks you choose to build. Through this route, happiness will follow.
[/one_half]
[one_half_last]Alors que je considérais quel sujet de choisir pour ce poste, je m’attardais sur l’idée de l’indépendance de mon post précédent. Comme j’ai embrassé l’indépendance, je suis également venu à embrasser la liberté qu’il implique dans la construction de vos propres relations et les communautés. Souvent considérés comme des sujets opposés, je crois que l’indépendance et les communautés sont profondément entrelacées et dépendantes les unes des autres. Une communauté positive et naturelle est construite sur les différentes relations individuelles, qui se combinent pour créer un réseau de réseaux. Ces relations ne sont pas forcées, mais plutôt un choix personnel. Ainsi, je pense qu’avoir un fort sentiment d’indépendance aide à naviguer dans ces relations, et choisir pour eux-mêmes ceux qui sont précieux et la peine d’investir du temps et de l’énergie dans, et ceux qui ne sont pas.
De m’asseoir à la réception du studio de Sophie tous les jours, j’ai pu voir comment elle construit et maintient ces relations, ce qui à son tour construit une communauté. La plupart des jours, Sophie prend le temps de prendre du café avec ses associés. Cette petite pause est tout à fait son choix, pas une affaire forcée de l’entreprise. Mais il est clair que ce rituel a contribué à construire une atmosphère amicale et solidaire au sein de la Maison de la Photographe. Une atmosphère qui imprègne tout l’espace, et accueille ses clients dans le studio, créant une communauté plus large. Même après que la séance photo est terminée, et ses clients quittent le studio, ils restent une partie de la communauté, reliés par leur expérience dans le studio. Alors que leur présence physique peut être allé, leurs personnalités et les esprits ont amélioré et caractérisé le travail de Sophie, et vice versa.
Les gens ne sont pas les seules entités capables de créer des relations. À l’intérieur du studio, j’ai personnellement vu comment Sophie est capable de construire une relation entre elle-même, la caméra, l’éclairage et les clients. Comme les images à l’écran viennent en vie, quelque chose dans les clients et Sophie elle-même prend vie. Il y a une certaine passion ou d’intérêt qu’ils partagent tous, et il est réalisé dans le studio. Bien que la raison pour laquelle chacun d’être dans le studio pouvoir être différent, il y a un désir partagé dans l’espace. Je crois que le désir d’être dans un espace, reconnu ou non, est essentiel pour créer des relations et des communautés positives.
De la réunion dans mon café préféré avec mes meilleurs amis pendant des heures, à remplir un siège dans un avion avec des centaines d’autres étrangers, dirigé dans une brume de confusion perdue à un pays étranger, j’ai vu comment les communautés et les relations font partie intégrante de la vie quotidienne. Ils sont, en partie, comment vous vous définissez. Parfois, vous ne réalisez pas que vous êtes une partie d’une communauté jusqu’à ce que vous soyez profondément ancrée dans elle. Cependant, comment, quoi et qui vous choisissez de vous impliquer, et la profondeur de cette implication, est basée sur votre indépendance. Mon temps avec Sophie m’a montré de ne pas compter sur les autres pour construire un espace confortable ou des relations agréables, mais plutôt d’écrire votre propre histoire à travers les relations que vous choisissez de créer et les réseaux que vous choisissez de construire. Par ce chemin, le bonheur va suivre.
[/one_half_last]

Quitter la version mobile